Baromètre des violences éducatives ordinaires (VEO)

L'étude IFOP pour la Fondation pour l’Enfance révèle que le recours à ces pratiques éducatives augmente. Un tiers des parents les admettent dans le cadre d’une pratique sportive. 48% des parents interrogés jugent qu’il est difficile voire impossible d’entraîner un enfant sans crier, 34% sans le punir, 28% sans lui dire qu’il est « mauvais» ou "feignant", 27% sans le bousculer, 26% sans le gifler ou lui donner une fessée.