L'enquête met en lumière les mécanismes de relativisation, de relégation et d’invisibilisation des conduites addictives des mineur.es en prison. Les usages et représentations du cannabis, n'étant pas associées à un enjeu de santé, contribuent à l'invisibilité du problème de même que le manque de moyens et le déficit de coordination entre acteurs et institutions.