Prendre soin de l’autre constitue en soi un réel travail émotionnel, qui implique les émotions du soignant et la compréhension du vécu émotionnel des patients, mais également des collègues. De quelles ressources le professionnel peut-il disposer pour que l’émotion reste au service de l’activité et qu’elle ne vienne pas la paralyser ou la dévoyer ? Comment développer ses compétences émotionnelles dans le contexte actuel de perte de sens du travail ?